— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 1 mai 2022 Melanson a dénoncé les “violences parasitaires” dans un message posté sur Twitter, mais a précisé que “le préfet (de police de Paris, Didier Lalemen) savait” et qu’”il était incapable de garantir le droit de manifester pacifiquement”. Je suis désolé du double langage et de l’ambiguïté de M. Mélenchon. Le fait qu’il n’ait aucun mot sur les policiers, gendarmes et pompiers qui ont subi aujourd’hui des violences inacceptables blesse ces responsables. pic.twitter.com/joU2BGzanX — Gérald DARMANIN (@GDarmanin) 1 mai 2022 “Le manque de mots de soutien” aux policiers et pompiers “est particulièrement offensant”, a déclaré Darmanin lors d’une conférence de presse policière, évoquant notamment l’agression d’un pompier qui a été agressé par une femme alors qu’il tentait d’éteindre un incendie allumé. en marge de la manifestation. La femme a été interpellée et le pompier n’a pas été blessé, a précisé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.

“Pompier-incendiaire”

“J’appelle tout le monde, en particulier M. Mélenchon ad hominem, à condamner ces violences et à lever toute ambiguïté qui pourrait exister avec l’extrême gauche”, a répondu le ministre de l’Intérieur, comparant le chef de LFI à un pompier incendiaire “car, selon lui “Consciemment, pendant cinq ans, il a dénié à la Préfecture de police les moyens de mieux prévenir ces manifestations violentes”. L’un des plus proches lieutenants de Mélenchon, l’adjoint Alexis Corbière, avait exprimé sur Twitter “toute (sa) solidarité avec ce pompier et ses courageux collègues, considérant que “celui qui l’agresse de la sorte est un lâche et un sale type”. mains de tous ceux qui veulent stigmatiser ce beau 1er mai plein de joie et d’espérance”. L’attentat a également suscité des réactions politiques de Christian Estrosi, proche d’Emmanuel Macron, qui a estimé que “ces voyous devraient être sévèrement punis”, ou du député LR Éric Ciotti, qui a dénoncé une “nouvelle agression surréaliste venue des extrêmes de gauche”.